La faute à padchnace

Presque tous les jours j'écris, c'est mon passe-temps, voici une de mes nombreuses histoires :

Salut toi ! Je m’appelle Mélanie Le Trèfle, même si mon nom est le même que celui d’un porte-bonheur, je ne suis pas chanceuse pour autant. Oui, bien sur, il y a forcément plus malheureux que moi mais il faut avouer que je ne me lamente pas pour rien.

Au début je n’avais que de petits problèmes mais l’histoire qui va suivre est la pire de toutes. D’abord, je vais te présenter ma famille, mon père, Nicolas, alcoolique travaille comme agent de sécurité dans une usine de fromage, parfois il est de service de nuit. Je me demande quand même ce qu’on peut voler dans une usine de fromage… Ma mère est une grande journaliste dans le monde. J’ignore pourquoi elle n’a pas quitté mon père, il l’a frappe quand il revient le soir soul.

J’entends tout de ma tente, mais je n’ose rien dire. Je dors dans une tente car notre maison à brûlée, encore victime de ma malchance. J’ignore comment elle à brûlée d’ailleurs. Voilà, ça fera bientôt un an que tout est parti en fumée. Heureusement que nous possédions un terrain où nous contions y faire construire une maison de vacances ainsi qu’une caravane. Moi, je suis en tente car il n’y a que 5 places dedans.

Oh ! J’ais complètement oublié de te présenter mes frères : Steve l’aîné, il avait 20 ans cette année, Moi, 17 ans, Lucas 15 ans, c’est avec lui que j’entretiens la meilleure relation et Emile 13 ans. On devait avoir une petite sœur ou un petit frère mais ma mère a fait une fausse couche à cause de mon père. Parfois il m’arrivait de le haïr.

Tous les soirs, je pensais à tout ce qui m’était arrivée. Et là tu te dis sûrement
« pourquoi ils ne se serrent pas ? » « il fait froid l’hiver ! » « Et pourquoi elle ? » C’est exact l’hiver il fait froids, très froids. Ils ne se serraient pas pour la bonne raison qu’ils ne le pouvaient pas, ils étaient déjà les uns sur les autres. Et c’est moi car on a tiré à la courte paille et j’ais perdu. Même si on faisait une revanche tout les mois, je perdais. S’étais dans ma nature !

Un soir, je n’étais pas encore endormie, j’entendis le téléphone sonner. Avant même que ma mère décroche je savais qui s’était et pourquoi il appelait.

c'est gai ton truc dis donc...
ça met de bonne humeur... déjà que je le suis (humhum lol)...

et sinon "hiver il fait froids très froids", y a pas de S.

Fin bref, voilà...
bisou

Coucou et bravo pr ton début d'histoire !
J'étais morte de rire tte seule ^^
J'éspère que tu vas continuer tout ça !

J’ouvris les yeux. La blancheur de la pièce me fit mal. Les lumières sur le plafond me semblaient froides. C’est alors que je me rappela du coup de fil de la police à cause de mon père, ma mère qui va le chercher, moi qui l’accompagne, la neige qui rendait la route glissante, l’autoroute, la voiture aux fards éteints qui arrive vite par une sortie, le choc, les tonneaux, la glissière de sécurité, l’alarme des pompiers et puis plus rien.
Une voie prés de moi me fit sursauter :
- Mlle Le Trèfle ?
- Oui…
- J’ais le regret de vous annoncer que votre mère n’a pas survécu à votre accident !
C’était sûrement un policier car il portait un uniforme et il n’était pas mal, il devait avoir la petite trentaine… attends… qu’est ce qu’il vient de dire ? Ma mère ? Ma mère morte ! Ce n’est pas possible ! Je ne pus rien dire, j’en avais le souffle coupé.
- Mademoiselle, j’ais quelques questions à vous poser…
Je leva les yeux, le type devant moi tenait des feuilles dans ses mains. J’ignorais que cet homme allait changer ma vie. Pour l’instants je ne le trouvais pas très délicat, il m’annonçait la mort de ma mère et de secondes après il me questionne…

Quel pauvre type !

a ce point là, c'est plus de la mal chance...

la pauvre!!!

Ma toute première enquête ! Ce n’est qu’une petite ! Mais s’en est une quand même ! Je dois interroger une jeune fille qui venait d’avoir un accident de voiture… Oh ! Quel manque de politesse ! j’ais oublié de me présenter. Je suis l’officier Charlie Carter. J’ais 25 ans, je viens de rentrer dans la police… bon, j’avoue j’ais été un peu pistonné pour y rentrer. Mais ce n’est pas la peine de le répéter à tout le monde ! Que cela reste entre nous !
Revenons au sujet : Ma première enquête ! Je ne voyais pas l’utilité d’interroger la fille. Car les causes étaient simples. La voiture à fait une embarder sur le côté, la mère tuer sur le coup et la fille survit ! Simple ! Comme s’était la première fois que j’interroge quelqu’un, j’avais répété mes questions et mes intonations seul dans mon studio. Je me trouvais maintenant aux côtés de cette fille. Dés qu’elle ouvre les yeux, je commence sans perdre de temps ! Je dois rester concentrer ! Mais je me rends compte, trop tard, que j’avais fais une boulette, mais une boulette colossale ! Avant même ma première question la fille me déteste ! Logique, je n’ais pas pris de pincette pour lui annoncer la mort de sa mère ! En plus, je veux lui poser des questions ! Elle me regarde dans les yeux. Si on pouvait tuer du regard, je serais mort depuis longtemps. Le regard peut, par contre, retourné, désarçonné. Et je le suis ! Impossible de recroisé son regard. Ça me glace le sang d’avance ! Alors, je fixe ma feuille que j’avais préparé pour les réponses. Je stress encore plus qu’à mon oral au BAC ! J’improvise rapidement, je ne veux pas attaquer LE sujet maintenant.
- Comment-vous appeler vous, Mélanie LE TREIFFLE ?
Je me frappa le front avec ma main ! Quelle question stupide ! Mais je la vois esquisser un sourire. Je dois la mettre en confiance !
- Où êtes vous blesser ?
Très bonne question ! Super bien trouvé ! Ma fierté chute quand elle me répond :
- Je ne sais pas ! Je viens de me réveiller ! Par contre vous, vous devez le savoir !
Et en effet, je le savais ! Elle avait juste le poignet foulé. L’hôpital attendait qu’elle se réveille pour la renvoyer chez elle !

XD... le pas doué!!! *je dis ça tout le tps dis donc...*

la pauvre fille quand même... snif pour elle!!!

MDR !!!
J'adore ! Vivement la suite ^^
Very Happy

J'enchaina rapidement
- Pour quoi étiez-vous avec votre mére dans la voiture à cette heure ?
- On allais chercher mon père au poste de police...
Le temps passais et je commençais à avoir trés faim. Je décida d'attaquer le sujet qui fache :
- Votre mère buvait-elle ?
- Non ! Qui vous a mis cette idée dans la tête ?
Je sentais son regard me brulé mais je ne leva pas les yeux.
- C'est qu'il faut bien trouver une explication au dérapages !
- C'est la voiture aux fards éteints !
- De quelle voiture me parler vous ?
- Elle arrivait pas une sortit super vite, elle nous ait rentrer d'dans ! La voiture à aprés valdinguée dans tous les sens !
- Bizarre...il n'y a pas de traces de cet voiture sur la route !
Le visage de Mélanie se crispa. Elle changea rapidement de sujet.
- J'ais eu de la visite ?
- Non, je ne crois pas !
Je décida de lever mes yeux de ma feuille et je vis regarder le plafond en se mordant les lévres. Puis son regard déscendit sur la patite table de chevet qui se trouvait à côté du lit, j'eus l'impression qu'elle avait oubliée ma présence. J'aurais donné n'importe quoi pour pourvoir pénétrer ses pensées ! Je toussota pour lui rappeler que j'étais là. Elle tourna son regard vers moi. Je fixa son regard vert hypnotisant sans pouvoir détourner les yeux, je me liquéfiais sur place. Elle prit la parole :
- Pourquoi on m'interroge ?
- On m'a demandé de le faire...
- Je n'en vois pas l'utilitée ! Je n'ais rien à dire... Vous pensez que ma mère picolait ! croyez ce que vous voulez !
Ma sentence pour avoir fixé son regard fus que je subis son regard noir et aprés avoir fondu, je me glaça !
Elle me cahcait quelque chose ou on lui cahcait quelque chose...quoi que ce soit, je n'allais pas tarder à le découvrir !

J'avais pas vu que t'avais posté!!!

Bon, mieux vaut tard que jamais... lol

Elle est bizarre c'te fille.. et ce policier aussi... hum

LOL

Dans toutes mes histoires mes personnages sont bizarres...

D'où il sortait celui-là ? Avec son costume de flic, il croyait m'impressionner ? Il me connait même pas !
Et puis avec ses hypothéses à la con... D'où il a le droit de dire que ma mère picolait ?!? Je la connaissait bien, moi, ma mère ! Et puis, il n'y a pas que ça : Comment ça se fait que les traces de l'autre caisse ! C'est quoi ce bordel !! Moi, je l'ai bien vu ! Elle a défoncée ma portière ! Je l'ai même vu le conducteur ! Bon, il est vrais que si je le croisais dans la rue, je ne le reconnaitrais pas !
Et pourquoi il ne me regarde pas cet idiot ? ma tête lui convient pas ? Oh ! ça se trouve je suis défiguré ? Vite un miroir ! Je regarda la table de mais aucun miroir ne s'y trouvait !
Décidemment tout va mal ! En plus, j'ai même pas reçu de visite ! C'est pas possible !

- Comment vous appelez vous ?
Quoi ? C'est moi qui est dit ça ?!? Mais je m'en fous de savoir son prénom ! Pourquoi j'ai dis ça ?! Peut être que je le trouve amicale avec ses pitites boulettes et ses tites mimiques... NON ! Il a de superbes yeux bleu !! Non, arrete de le regarder !
Charlie ?!? Beurk beurk ! Comment un bea... heum... flic peut s'appeler comme ça ! C'est trop moche !!!
Il continua ses questions :
- Est-ce votre père qui vous a appelé ?
- Oui, je pense ! En fait, j'ai vu ma mère partir et comme je ne dormais pas, j'ais décidé d'aller avec elle...
- C'est elle qui vous a dit qu'elle allait chercher votre père ?
- OUi, enfin, non ! je l'ai deviné ! C'est presque tout les soirs comme ça !

presque tous les soirs! mdr
c'est pas possible!!!

Il regardai encore sa fiche, puis la plia, avant de l'a mettre dans sa poche. C'est alors que je me redis compte qu'il n'avait écrit aucunes réponses...
Il plongea sa main dans sa poche de chemise et lutta pour en faire sortir un bout de papier cartoné, c'était une carte de visite qu'il me tendit en disant la phrase qu'on entend dans tout les polars :
- Tenez ! N'hésitez pas à m'appeler si quelques chose vous revient !
Je lui fit mon plus beau sourire et il quitta la piece ...

[Ce message serra éditer puisque je n'ai pas fini de l'écrire pour cause : "j'vais miam !"]

Je regarda le morceau de papier où dessus était marqué : Charlie Carter... du blabla, un numéro de téléphone et une adresse de centre de police. Je retourna la carte et découvrit, écrit à la main, SON numéro de portable...
Bizarre mais sans lui, ma chambre semblait triste, il me manquait déja...NON ! il est hors de question que je m'attache à un sale flic ! Et d'abord, c'est quoi cette enquête pourrie qu'il mene ? C'est pas clair du tout cette histoire ! Pourquoi la voiture n'a laisée aucune traces ? Pourquoi j'y ai survécu alors que je me trouvait à la place du mort [ Pour ceux qui l'ignore, la place passager devant est la place du mort...]
Toutes mes questions demeuraient sans réponse...
Je fus sortit de mes pensée par l'entrée le l'infirmière suivit de mes frère dans la chambre. Steve fut le seul à rester à l'écart...de plus, il me dévisageait méchamment. Tandis que Lucas et Emile me mitraillère d'étranges questions...
- Que s'est t'il passé ?
Je racontai la même chose qu'à Charlie. Mais Steve n'en fus pas convaincu...
- Tu avais bu ?
Je me retourna vers lui et répondit séchement :
- Non ! JE ne bois pas... En parlant du loup...où est papa ?
- Ne parle aps de papa ainsi !
Rétorqua t'il :
- D'ailleurs, il ne veut plus te voir, plus jamais !!!
Steve était furieux. Lucas et Emmile ne se melèrent pourant pas de la duspute car ils avaient mieux à faire, comme louché sur le décolleté trop plongeant de l'infirmière...
- Pourquoi il ne veut plus me voir ?
- Tout ce qui est arrivé est de ta faute !
Steve hurlait. L'infirmière décida alors de quitter la piece à la grande tristesse de Lucas et Emile qui soupirèrent...

j'attends la suite pour me prononcer... ^^

Une voiture au fards éteinds ? Et puis quoi encore ? Dans ma virure, je revoyais le dialogue que j'avais eu avec Mélanie. Devais-je la plaindre ou l'arreter ? Victime ou coupable ? Que de questions perturbaient mon esprit. Je décidai alors d'aller voir mon père, il pourrait peut être m'aider dans cette affaire.
Son bureau, toujours bien rangé, crayons bien taillés et de même hauteur, rangés dans leur pot, mine vers le haut, à chaque fois que j'y rentrais, j'avais peur de pertuber l'ordre établis. Mon père me fit entrer avec le sourire forcé. J'étais sur qu'il ne s'attendait pas que la "mission" qu'il m'avait confié était plus importante qu'un simple accident. Il me prenait encore pour un idiot ! J'entamai rapidement la conversation, avant lui.
- Papa... euh chef ! je suis allé à l'hôpital comme vous me l'avez demandé et interrogé Mlle Mélanie Le Teiffle et je doute que celà soit un simple accident.
J'ai dit ça avec une telle rapidité qu'il ne pu rien dire. Et pour éviter d'être stoppé dans mon élan, je continua sans y être invité.
- La jeune fille certifi qu'une voiture les a percuté par la droite ! Mais je pense qu'il faut avoir des preuves et ne pas forcément la croire sur parole, on ne sait jamais.
Je reprit ma respiration et finissai mon rapport.
- Voilà !
C'est vrai que ce n'etait pas une magnifique conclusion mais je n'avais pas d'autres idées.
- Bien ! Merci de t'être occupé de ça !
Il apuya sur son téléphone et demanda à la secrétaire d'aller lui chercher George.
- George ? Mais c'est MON enquête !
- C'était ! mais vu que aparemment ça se complique, vaut mieux faire appel à un pro !
Il leva alors les yeux sur moi, puis me fit signe de partir. je tournai les talons et quitta son bureau al tête haute. Il était hors de question que MON affaire soit donnée à George ! En plus je l'aime pas ce type ! C'est qu'un petit prétentieux ! Soudain une idée plus que parfaite survînt dans mon esprit. J'allais résoudre cette affaire tout seul, comme un grand et avant George ! Comme ça, on sera bien obligé de reconnaitre que je suis plutôt balèze !
Bon, c'est vrai que j'ai eu un démarrage difficile à l'hôpital: primo je loupe mes question, deuxio je ne la regarde pas, je rougi, en plus, j'ai écris aucunes réponses ! ET pour finir en beauté, je n'arrive pas à sortir ma carte de ma poche !
Et puis ELLE, Mélanie, la suspecte number one ! Elle qui pouvait faire fondre un glacier avec son sourire, elle sui ferrait pâlir le soleil avec la chaleur qu'elle dégage, elle qui a fait battre mon coeur plus que jamais, elle ... NON ! Non et non je ne devais pas penser à elle ! L'enquête d'abord !
Je commençai par vérifier sa version des faits. Si une voiture les avait percuté alors il y aurait des traces. Je souriai, décidément, je suis super doué comme policier !
Je me rendis donc au garage où se trouvait la voirture de Mélanie. Le garagiste me laissa entrer sans aucun problème, avec un badge de policier on peut tout faire !
La voiture se trouvait dehors, si le garagiste ne m'avait aps dit que c'était elle, jamais je n'aurais pu reconnaitre la voiture, on aurais plutôt dit un tas de toule froissée. Je m'en approchai et découvrit qu'il manquait la portière droite ! génial ça se compliquait ! Je serais encore plus reconnu comme super policier ! Je demandai au garagiste où se trouvait la portière droite et il me répondit qu'il l'avait vendu à un homme pour un bon prit, 100 euros ! mais qui voudrais d'un portiére cassée pour 100 euros ? Le garagiste m'emmena dans son bureau où se trouvait le registre des client.
- Un certain M Le Treiffle, pour une raison sentimentale je m'en souviens !
Maintenant j'étais sur que Mélanie disait vrai ! Mais pourquoi son père aurait voulu faire disparaitre ma preuve ? C'était pourtant la preuve pour retrouver l'assassin de sa femme... A moins que...
Mon portable sonna, à peine décroché que la voie d'une jeune fille cria dans le combiné.
- M Carter ! c'est Mélanie !
- Oui, que voulez-vous ?
- J'ais peur ! Venez vite !
- Que se passe t'il ?
- Mes frères ! Ils sont venu me voir ! C'est ma faute que maman et morte d'après eux !
- De quoi avez-vous peur ?
- Mon père veut ma mort !

MDR... le père s'attaque a sa fille...
On aura tout vu... XD

la pov'

Mes frères étaient vraiment furieux. Jamais je ne les avais vu ainsi. J'attendis que Steven reprenne sa respiration pour me défendre.
- C'est pas ma faute ! J'ai...
- Ferme-là ! On sait tous, ici, ce qui s'est passé !
Trop tard... Il était repartit dans sa lancée. De temps en temps, Lucas aprouvait ce que disait mon grand frère. Seul Emile, le plus petit ne montrait aucun signe d'apartenance à un parti.
- Papa nous a tout raconté !
- Hein ? Mais c'est pas possible ! Il était pas avec nous !
- Mais bien sur !
- Il vous a dit quoi ?
- Quand vous etes arrivée au poste de police, papa
- Devait être bourré...
- Non ! Il avait été arrêté pour conduite sans papiers ! Papiers que nous avaons retrouvé dans ta tente ! T'avais tout prévu !
- Faux !!!!!
- Laisse-moi finir ! Donc arrivée au poste de police, maman était fatiguée et avait peur de provoquer un accident, tu as alors prit le volan en lui inventant un mensonge... T'étais complétement bourrée !
- Mais je en bois pas !
- Tu m'écoute quand je parle ! Papa qui a refusé de monter dans la voiture s'est disputé avec Maman qui a cru bon de te faire confiance ! Erreur Mortelle !
- Menteur ! On est jamais arrivée au poste ! L'accident était avant !
- Et tu crois qu'on va te croire ?
Steven tourna les talons et sortit, du couloir, il appela ses frères mais il revînt quelques secondes dans la chambre
- Ah j'oubliais ! Ne reviens plus jamais à la maison !
- Quelle maison ?
On ne me répondit pas. Lucas suivit Steven hors de la piece. Emile me regarda et s'approcha de moi. Puis déposa un baiser sur ma joue. Et en guise d'adieu, me mit en garde contre mon père.
- Fais gaffe ! En ce moment P'pa est bizarre il répette sans arrête que tout sera bientôt fini.
- Ne t'inquiéte pas !
- Bon je te laisse...
Dans le couloir, mes frères s'impatientaient. Emile me tourna le dos, je l'entendit renifler. Il essuya ses yeux et chuchota.
- Je t'aime.
Il quitta la piece. Me laissant ainsi seule dans mes pensées. Je tourna la tête vers ma table de nuit où était posé un petit papier, la carte de visite de l'agent Carter. Je devais prendre les choses en main, il était hors de question de mourir dans un hôpital et encore moins maintenant. je prit le téléphone et composai le numéro de Charlie. Quand il décrocha, sa voie rassurante m'apaisa. Je lui racontai toute l'histoire et aprés un long silence.
- J'arrive tout de suite !
Je reposai le combinet et commençai à m"habiller car même si l'officier ne voulait pas forcément me faire sortir, j'étais bien décidée à m'enfuir de là. Je prit mes vêtements qui se trouvaient dans l'armoire et les enfila. Je vit alors qu'un bout de manche était déchiré. Je rouspéta un peu mais Charlie rentra dans la chambre. heureusement que j'étais déja prête car il n'avait même pas frappé.
- Parfais ! Vous etes prête ! On y va !
Il ouvrit la porte et me fit signe de passer.
- On va où ? Au poste ?
- Non, chez moi ! C'est plus sur.
Je haussa les épaules, que pouvait t-il m'arrivé de toute façon ?
Il m'entraina dehors, personne ne lui posa de question, se fut un sortie tranquille. Pas comme dans les films où le héros dois se cacher dans une des tables à infirmière.
La voiture de Charlie était assez petite, elle passait donc innaperçue. Je montai à l'arriére. Comme ça, si mon père arrivait je pouvais me faire glisser au sol sans être vu. Mais nous quitâmes le parking sans encombres. J'attachai ma ceinture et commençai à destresser. Mes yeux devenèrent lourds et le sommeil me gagna.

MDR...
Nan mais c'est trop tordu ton truc...
Je commence à avoir du mal à suivre...

Ah ?
Bah attends : Tit résumé :

Mélanie est (était) à l'hôpital car elle a eu un accident de voiture qui a tué sa mère. Son père a dit à ses frères (Steven, le plus grand, Lucas, moyen et Emile le plus petit) que c'était elle qui conduisait la voiture. Mais Mélanie est sure qu'elle et sa mère ont eu l'accident avant d'arriver au poste de police, que c'est une voiture qui les a percuté et que son père était arreté pour conduite en état d'ivresse.

Charlie est un policier incompétent qui veut faire ses preuves comme un grand. Mais son père confie son affaire à George, un VRAI policier. Charlie veut alors prouver à son pôpa qu'il peut le faire et décide alors de faire son enquête tout seul.

Indice découvert : La portiére droite de la voiture à été acheté à la casse par M Le Treiffle, Le père de Mélanie...

Mais elle a quel âge cette fille???

C'était dans mon tout premier post de cette histoire :

"Steve l’aîné, il avait 20 ans cette année, Moi, 17 ans, Lucas 15 ans, c’est avec lui que j’entretiens la meilleure relation et Emile 13 ans."

Ah ok... dsl...
Non mais c'est que ça fait longtemps...
Je me suis un peu perdue...

Son père veut la tuer ? N'importe quoi ! Cette fille à un sérieux problème ! Mais... remarque, ça pourrait être une bonne raison pour l'embarquer loin de George... et de son père, si elle insiste.
Je remontai dans ma voiture et retournai à l'hôpital. Je retoutnais toutes le possibilités de cachette de MON affaire. Mais où pourais-je bien emmener Mélanie ? Oh ! mais bien sur ! Chez moi ! Comme ça je pourais l'interroger autant que je veux ! En plus elle finiras pas avoir confiance en moi et me dira tout ! Parfois, je m'étonne moi même, quel esprit intelligent ! Je plaçai la voiture juste devant les portes, grimpai 4 à 4 les marches puis ouvrit sa porte sans prendre le temps de frapper. Elle était déja habillée et finnissait de fermer les boutons de son chemisier.
Nous arrivâmes devant ma voiture, elle grimpa à l'arriére ! Non ! Si c'est son habitude, mon hypothése tombe à l'eau ! Car, comme je pensais qu'une jeune fille de on âge montait devant, je n'ais vérifié que la portière de devant, peut être que c'était enf ait la portière de derriére qui s'est fait défoncée !
Mais je la vit alors se laisser glisser sous la banquette. Cette fille est malade ! Je vis alors passer son père d'un pas presser devant la voiture. C'était une occasion en or pour l'interroger sur la portière mais finalement, je demarrai et quittai le parking. J'ignore quand elle est remontée sur la banquette, j'étais trop concentré sur la route pour la regarder. Mais ne pouvaent plus résister, je lança un rapide regard sur le rétroviseur, elle dormait comme un ange.
Environ 30min plus tard, nous arrivâmes devant mes immeubles. Je me retourna pour la reveiller mais ce n'était pas utile, ces yeux étaient déja ouvert.
Dans l'ascenseur, c'était le silence total. je ne pouvais m'epêcher de lui lancer des regards qu'elle ne remarqua pas. Son regard se perdait dans le vide. Le "ding" de l'arrêt de l'ascenseur me donna l'impression de la reveiller. Je me dirrigeai vers mon apartement, suivit de prés par Mélanie toujours dans les "vapes". J'ouvris la porte et la fit entrer en première tel un gentleman.
- Viens ! je vais te montrer ta chambre !
Oh non ! Je l'ais tutoyer ! Espérons que...
- Et TOI où TU vas dormir ?
Elle a entendue ! je lui désignai un sofa dans le salon.
- Non ! Je vais dormir là ! Je préfère être prés de la sortie !
Je haussai les épaules puis lui fit visiter mon humble demeure. Cela se fit rapidement, WC, salle d'eau, cuisine, salon/salle à manger et ma chambre. Quand se fut finit elle s'exclama :
- C'est magnifique chez toi !
- je trouveça un peu... petit !
- Bah, par rapport à ma tente non !
- Tu vis en tente ?
- Oui, ma maison à brûler l'année dernière !
Elle m'annonça ça avec une voie blasée, comme c'était normal. Je fus choqué. Il y eu un blanc dans la conversation.
Elle coupa le silence en m'annonçant qu'elle allait cuisiner. Je n'y fit pas d'objection. Le moment était venu pour l'interroger.
- Dis moi... mélanie... tu étais assise où pendant l'accident ?
- Avant doite ! Pourquoi ?
Super ! Mon hypothése marche ! Je suis vraiment un super-flic moi !
- Pour rien... pour rien !
- Allez dis ! T'as trouvé quelque chose !
- Je préfère ne rien dire !
mélanie se vexa, et partit dans la salle de bain, laissant brûler le diner.

C'est peu zarb qd mm...
Même rexpliqué... lol
Mais ça va mieux...
Bizarre qd mm le flic qui fait l'enquete malgré tt, qui embarque la fille chez lui, qui la tutoie... 'fin bref
C'est marrant! ^^